Cantus de clôture de l'année : retours et discours

Publié le par cercle-theo-ucl

Chers camarades, bonsoir à tous !

 

Ce lundi 6 mai 2013, le THEO a tenu son Cantus de clôture de l'année.

 

À l'occasion de ce cantus, la composition du comité de l'année prochaine a été solennellement annoncée :

 

Président : Victor

Vice-présidente et responsable Kfet : Charlotte

Trésorier : Jean-François

Scriptor : Elisabeth

Et votre serviteur reste le Grand Maître du Cercle.

 

Après cela, le rite de la passation de la présidence s'est déroulé avec la solennité qui lui était due.

 

Enfin, à la fin de la soirée, après moultes questions et épreuves, nous avons admis le camarade François de l'ODG dans les rangs des lettrés THEO.

 

Vous trouverez ci-dessous le discours prononcé au début du Cantus par le désormais Président émérite.

 

Folkloriquement vôtre,

 

Alexis Ier de Lauzelle,
Chevalier OASA
Magnus Magister THEO
Anno MMXII-MMXIII

 

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(Discours prononcé au début du Cantus)

 

Chers membres du Cercle de Théologie,

Chers ami membre de l'ODG et ce soir aspirant François,

À tous, bonsoir.

 

   Nous voici arrivés au dernier Cantus THEO de l’année 2012-2013, et une fois de plus, il me revient, comme Grand Maître et bientôt futur Président émérite du Cercle de Théologie, de prononcer un petit discours en guise de propédeutique pour notre Cantus.

 

   Que pourrais-je donc vous dire ce soir ? Tout d’abord, que je suis fier de l’année qui s’est écoulée pour notre Cercle, deuxième année depuis que nous l’avons relancé. Certes, cette année a été un peu plus légère en activités que la précédente, mais je ne doute pas que cette accalmie est le prélude à une future année riche en activités et en expériences. Je mentionnerai néanmoins avec joie que cette année a vu notre Cercle s’enrichir de la présence d’une nouvelle calottée en son sein – Charlotte, tu peux boire, et son parrain aussi. Mais je ne vais pas m’étendre sur Charlotte, ce serait dégueulasse, et Thomas n’apprécierait pas. Encore que cela ferait mouiller Babette et exciterait Victor et Jean-François – les gens ainsi nommés peuvent boire. Soit, après cette dernière phrase de mauvais goût, je continue.

 

   Je remercie mon comité pour leur soutien, leurs conseils, leur amitié ; je le remercie pour avoir supporté (dans tous les sens du terme) mon double mandat de président. Je suis heureux d’avoir être pu le président de cette bande de joyeux lurrons, qui se reconnaissant pourront boire un coup. Heureux, dis-je, d’avoir été le président d’un tel comité, sur les mérites duquel je ferai peut-être un jour une guindaille. Mais surtout, heureux d’avoir été président du Cercle de Théologie, de l’avoir aidé selon mes moyens à survivre, non, à vivre !

 

   Car il est fini, je n’ai pas peur de l’affirmer publiquement, le temps de la survie, comme le temps de la relance est fini également. Désormais, ce soir, une nouvelle page de l’histoire de notre cercle se tourne, alors que nous apprendrons la composition du troisième comité du Cercle depuis sa relance en 2011, et que j’aurai le plaisir et la fierté de faire passer à mon tour la charge de président à un autre. Nous pouvons dire que notre Cercle vit, qu’il a enfin pris sa vitesse de croisière, après avoir repris la mer, contre vents et marées, après un temps à mouiller au port (ne voyez rien de pervers là dedans, bande de détraqués qui ricanent là-bas !).

 

   Et même si l’avenir du Cercle peut sembler incertain, gardons courage et confiance. Et ici je m’adresse particulièrement au comité futur : faisons vivre notre Cercle bien-aimé ! Ne nous contentons pas seulement de le faire tourner pour lui accorder une survie : donnons-lui un souffle, une vie, une âme, et enflammons-le (non, Victor, il ne s’agit pas de cramer le local, tu bois) !

 

   Et surtout, ayons le plaisir et le courage de le faire connaître à tous, malgré les impudents – et il y en aura toujours – qui prendront un malin et imbécile plaisir à souiller la dignité et l’honneur de notre Cercle par leur bave chargée de mépris et de stupidité. Laissons ces imbéciles à leurs rots dont ils semblent si fiers, et continuons notre route, fiers de notre histoire et de notre folklore.

 

   Quand bien même, nous croiserions donc cette engeance étroite d’esprit, n’oublions pas également que nous avons eu et nous aurons des amis, des gens qui respectent notre Cercle et le soutiennent – certains, jusqu’à vouloir passer nos lettres, François tu bois. N’oublions pas non plus que nous avons une autre richesse : le soutien de la Faculté de Théologie et de son doyen, soutien qui n’est pas rien et qu’il faudra continuer de s’assurer.

 

   Enfin, n’oublions pas, amis théologiens, que nous avons à nos côtés le Dieu des armées, qui est, comme dit le psalmiste, « le berger qui nous guide ... que saurait-il nous manquer ? ». N’ayons pas peur, n’ayons pas honte, comme nous le ferons tantôt avec le futur président lors de la passation de la présidence, de confier le Cercle et nous-mêmes à la miséricorde divine. Car il n’est pas un Dieu indifférent à notre vie d’étudiant, encore moins à nous, étudiants en théologie.

 

   Mais voici que j’arrive à la fin de mon discours. Alors, chers amis, il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une excellente soirée. Et au futur Président et son comité, je souhaite déjà bon vent et bonne continuation. Je suis fier et heureux de passer le flambeau à des gens qui, je le sais, auront cœur à le faire briller haut et fort dans le monde de la guindaille néo-louvaniste. Vous pourrez toujours compter sur mon aide, selon la grâce de Dieu et les circonstances.

 

   Ut Semper Vivat Crescat Floreat Circulus Theologiae !


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